Habiter un quartier pauvre, où le parc locatif est peu abordable et en mauvais état, où l'aménagement est peu sécuritaire avec peu d’espaces verts, c’est habiter un environnement défavorable à la santé. Mais comment améliorer les conditions de vie locales porteuses d’inégalités de santé ? Dans un tout récent numéro de la collection Le Point sur..., voici les faits saillants d'une étude sur la production des effets de l’action intersectorielle locale : trois Tables de quartier ont ainsi été suivies pendant cinq ans (2011-2016). Ce projet, sous la direction de Louise Potvin et Angèle Bilodeau, a été mené en collaboration avec les partenaires de l’Initiative montréalaise de soutien au développement social local.
Le Point sur... les effets de l’action intersectorielle locale sur les milieux de vie
8 mars 2018
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